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Date de création : 19.03.2013
Dernière mise à jour : 10.07.2014
233 articles


8-1-A Essais sur de l'Amour Part 2

Publié le 18/04/2013 à 09:33 par textosik Tags : vente devis création chansons interpretation musiques poesies littérature textes


UN DE PLUS ?


Joyeux anniversaire, mes vœux les plus sincères,

Et toutes ces bêtises, appelées bons usages.


Enfin un an de plus !

Ca ne réjouit guère

Ceux qui ne savent pas que c’est un avantage.


Ce temps n’existe pas. Vieillir est ineptie.

L’esprit se régénère, toujours plus clair, plus frais

Pour ceux qui le cultivent après avoir compris

Que jeunesse mature est le fruit les années.


Certes, tant s’apitoient des traces qui ne sont

Qu’axe d’évolution et support de sagesse.

Puis il faut bien donner aux jeunes l’occasion

D’haranguer sur ce qu’ils croient signal de détresse.


Fi des à priori, clin d’œil à la beauté

Sur qui le poids des ans tend à faire merveille.


Mais si on te dit belle, ne va pas t’offusquer,

Cela ne voudra point dire que tu es si vieille.


Enfin, quoi qu’il en soit, c’est de trop l’écouter

Qui le rend redoutable, efficace animal,


Oui, de trop l’écouter, mais j’ai beau me pencher, …


Que dit il ? … Que dis tu ? …, je vous entends si mal …



MERCI


Merci, quoi qu’il advienne, merci pour la raison,

La force et la manière, pour être libéré

De l’incessant retour d’inutiles questions,

Voir d’où l’on ne doit plus se sentir concerné.


Ni cadeau, ni hasard, l’amour est une chance,

Qui, partagé grandit, qui, cultivé dépasse

Ce qu’on peut concevoir, mais de tristes errances,

Savent le dépérir jusqu’à ce qu’il trépasse.


Chaque fait, isolé, semblait simple à gérer.

Par la complexité de ce qui s’imposait,

Tant de choses qu’il fut facile d’éviter

Ont subi, aveuglées, trop d’immédiateté.


L’immanquable sortie vient de se dessiner,

Mais tu crois aux miracles, et ça le tente aussi,

Quoiqu’un nouveau regard sur ce qui s’est passé

Lui demanderait de refuser le défi.


Il se tourne seul face au désir de partage,

Alors que, par bonheur, s’entrouvre l’horizon.

Après les discussions, difficile passage,

Besoin de ce contact, et besoin d’affection.


Merci pour le repère, merci de rassurer,

Savoir que les valeurs ne s’échappent pas toutes,

Quand ces doutes, insidieux, toujours plus, s’installaient,

Venaient anéantir ce qui montrait la route.


Merci d’avoir montré que ça reste possible,

Merci de l’amitié que gène la souffrance,

Et d’avoir remué des choses bien pénibles

Qui vont peut-être, enfin, donner la délivrance.



REPERES


Retenu, nécessaire, et plus évanescent

Que la brume, le souffle, ou que l’air respiré,

Aussi vrai qu’incertain, nous échappe souvent

L’essentiel des liens qui ne sont que liberté.


Alors, sans référence et face à ce dilemme

Où il apporte tant, où l’on aime donner,

Où face à ce qui nous étonne et nous entraîne,

Franchir et retenir cisaillent la pensée.


Il n’y a pas de limite, lorsque vouloir sortir

De ce qui semble un jeu n’est pas la solution,

On ne souffre que de trop vouloir définir

Ce qui nous tient au cœur, pour trouver des raisons.


Alors que tout est là, le fait est la réponse,

L’équilibre distant du besoin, de l’accord,

Du désir de partage, et sans effet d’annonce,

Respect dans l’harmonie d’un fragile trésor.


Impossible pensée que « très bien avec d’autres »

Face au besoin que rien ne pourrait remplacer,

Face à l’intensité de ce, qu’en simple apôtre,

Ce tendre sentiment ne cesse de donner.



FAUX DETAILS, ESSENTIELS


Dépassé, c’est stupide, par une perspective

Par le mal et la peur, ressentis ; dépassé

Par la portée des mots se faisant invectives

Involontaires envers son bien meilleur allié ;


En amende honorable, il demande pardon,

Et merci d’avoir su lui dire sans blesser.


Il est clair que cela servira de leçon,

Que de telles erreurs ne reviendront jamais.


Ce sont ces petits riens, tout autant ignorés

Qu’ils lui sont important ; anodines attentions,

Ce regard, ce sourire, un signe partagé,

Si loin desquelles tant ne voient plus la Raison.


Merci fut déjà dit, mais trop souvent le sens

Sonne bien loin des mots que l’on a prononcés

Quand sentir, percevoir, sont seules références

Qui permettent au vécu de rester près du vrai.


Dans l’émoi provoqué par son triste faux pas,

Il lui a semblé voir un gage d’amitié,

Particulier, sincère, et qui enrichira

L’impalpable lien dont il voudrait s’assurer.



A SA MUSE


Les mots parlent, il écrit, capture l’essentiel,

En restitue l’esprit comme fruit de sa chair ;

Mais malgré la douleur d’un carcan matériel,

Elle est pure merveille, aussi riche que claire.


Alors, gammes sur gammes, les mots viennent s’inscrire,

Le Poète modèle, et l’angle s’arrondit

De l’accord vers l’arpège. Bien plus loin que décrire,

Le verbe se ressent, la pensée se polit.


Sans virtuosité, on retrouve toujours

La plus belle expression dans la simplicité.


Point d’orgue sur sa Muse, une bouffée d’Amour,

Un regard sur l’Ailleurs, savent le relancer.


Surprise, Inattendu, quand l’improvisation

Vient à libérer l’âme, quand vous ne lisez plus,

Quand tout semble jaillir de vous, de la profonde

Harmonie qu’il subit comme un cadeau de plus.


Peu importe de qui émane le support,

Près d’Elle l’Auteur n’est que celui qui façonne ;

Et s’il a su transmettre un peu de ce trésor,

Il ne rend presque rien de tout ce qu’Elle donne.


Tous droits réservés pour tous pays par Mathieu VIGNAL
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